Par A.P–R

15 juillet 2022

Du compositeur baroque théorisant le pouvoir expressif des 24 tonalités au chef de guerre galvanisant ses troupes au son du tambour en passant par le publicitaire étudiant l’influence psychologique de l’écoute musicale sur le consommateur, nombreux sont les exemples actuels et passés témoignant des effets produits par la musique sur les comportements humains. Le phénomène est d’autant plus observable de nos jours que l’entrée de la musique dans l’ère industrielle a étendu sa diffusion à presque tous les champs du quotidien. Mais outre les considérations artistiques et les usages fonctionnels des exemples susmentionnés, se peut-il que la musique ait quelque vertu thérapeutique ? C’est par l’affirmative que répond la musicothérapie, discipline s’étant principalement développée au cours du 20ème siècle et pour laquelle la Confédération Musicale de France a toujours entretenu un certain intérêt.

Une discipline plurielle

Si l’on se réfère à la définition qu’en donne sa fédération française, la musicothérapie désigne « une pratique de soin, de relation d’aide, d’accompagnement, de soutien ou de rééducation, utilisant le son et la musique, sous toutes leurs formes, comme moyens d’expression, de communication, de structuration et d’analyse de la relation. Elle s’adresse, dans un cadre approprié, à des personnes présentant des souffrances ou des difficultés liées à des troubles psychiques, sensoriels, physiques, neurologiques, ou en difficulté psychosociale ou développementale. Elle s’appuie sur les liens étroits entre les éléments constitutifs de la musique, l’histoire du sujet, les interactions entre la/les personne(s) et le musicothérapeute[1]. »

Mais avant de parvenir à cette définition, la musicothérapie a fait l’objet de nombreuses recherches tout au long du 20ème siècle, lesquelles se poursuivent encore de nos jours. Au fur et à mesure de son développement, elle a bénéficié du concours de pédagogues, de psychiatres, de psychanalystes, de musiciens ou encore de techniciens du son. En France, ce sont Jacques Jost et l’Association de Recherches et d’Applications des Techniques Psychomusicales (ARATP) créée en 1969 qui en sont les figures pionnières avant que la discipline ne s’internationalise par la Fédération Mondiale de Musicothérapie (WFMT) dont les congrès mondiaux ont centralisé les apports de chaque pays. Il en résulte aujourd’hui un grand nombre d’écoles, de courants et d’approches : « fonctionnelle », « comportementale », « analytique », « modale », « structurale » ou encore « intégrative » sont à ce titre autant de qualificatifs témoignant de la pluralité de la discipline.

Mais pour qui n’aurait pas le souhait d’acquérir une connaissance exhaustive du sujet – laquelle, il faut le reconnaitre, requiert une certaine érudition – il importe de distinguer deux approches principales : la musicothérapie réceptive d’une part et la musicothérapie active d’autre part. Imaginée par Jacques Jost dans le cadre de ses fonctions à l’ARATP, la musicothérapie réceptive consiste en la diffusion de musiques agissant sur l’état psychique du patient en situation d’écoute. Initialement, Jost élabore un protocole dit « des trois œuvres[2] » se déroulant en trois temps : une première écoute fait entendre une musique reflétant l’état psychologique du patient, une deuxième neutralise son caractère pathologique avant qu’une troisième ne parachève le traitement. À l’inverse, la musicothérapie dite « active » entend faire participer le patient afin d’ouvrir des « canaux de communication[3] ». La musique et son panel expressif (rythme, son, timbre, intensité) constitue en effet un langage alternatif non-verbal favorisant la communication ou l’expression d’un mal. Elle a notamment été influencée par la méthode Orff, pédagogie musicale initiée par le compositeur éponyme, mais dans une adaptation thérapeutique.

À l’image de ses multiples courants, la musicothérapie trouve aujourd’hui de très nombreux champs d’application[4]. Et pour cause, elle s’adresse à tout public et s’adapte selon les situations. En effet, les musicothérapeutes interviennent autant dans le domaine de la périnatalité (auprès de femmes enceintes ou d’enfants prématurés) que dans celui des pathologies mentales ou psychiques (dépression, troubles du spectre autistique), de la gériatrie (notamment chez les personnes atteintes d’Alzheimer) ou encore dans l’accompagnement des mourants en soins palliatifs. Les séances peuvent être individuelles, groupales ou familiales et se tenir à l’hôpital, en structure médico-sociale (comme en EHPAD), à domicile ou encore en cabinet.

Le Journal de la CMF, témoin historique de son développement

Comme on l’a dit, le 20ème siècle voit la musicothérapie prendre son essor et susciter un véritable engouement. Attentive aux préoccupations de son époque, la Confédération Musicale de France n’y a jamais été insensible comme en attestent les nombreux articles publiés dans son organe de presse. Le dépouillement du Journal de la CMF offre effectivement un témoignage historique singulier révélant l’intérêt que porte le monde de la musique amateur pour cette discipline alors nouvelle. Dès le début des années 1970, les colonnes du journal communiquent sur la question, relayant les activités de la naissante ARATP[5] ou signalant la tenue des différents congrès internationaux[6].

Mais plus majoritairement, cet intérêt s’incarne dans le relai qu’offre la CMF aux initiatives de l’International Society for Music Education (ISME) des années 1970 jusqu’aux années 1990. Créée en 1953 sous l’égide de l’Unesco[7] et toujours actif de nos jours, cet organisme dont l’objectif est de promouvoir l’éducation musicale à travers le monde était à l’époque doté d’une commission entièrement dédiée à la musicothérapie. Sa proximité avec la Confédération Musicale de France s’explique par l’appartenance d’André Amellér aux deux structures, occupant conjointement les fonctions de vice-président de la première et de président de la seconde[8]. Durant près de trente ans, la section française de l’ISME est l’inlassable organisatrice d’événements tels que des colloques (comme celui de Strasbourg en 1973[9] ou celui Grenoble en 1974[10]), des journées d’information (comme à Toucy en 1976[11] où la CMF met à disposition le Centre National de Promotion Musicale Albert Ehrmann[12]), des conférences diverses (comme à Dijon en 1977[13]), ou encore des séminaires (comme celui de 1981 à Paris[14]). Presque systématiquement, la CMF assure non seulement la promotion de ces événements mais en publie les comptes-rendus détaillés dans son journal. Cette collaboration sera d’ailleurs la même concernant l’activité internationale de l’ISME. Sur la même période, la CMF assiste en effet à plusieurs congrès internationaux abordant la musicothérapie comme à Montreux en 1976[15], à Varsovie en 1980[16], à Bristol en 1982[17], ou encore à Séoul en 1992[18].

Une lecture exhaustive de ces archives révèle par ailleurs un intérêt tout particulier pour la musicothérapie en lien avec les domaines de l’enfance, de la pédagogie et du handicap. Contributeur ponctuel du journal, le pédagogue belge Edgar Willem publie notamment un article abordant le traitement thérapeutique de la dyslexie par la musique[19]. André Amellér fait montre d’un égal intérêt dans le compte-rendu de son intervention des journées d’information de Toucy lorsqu’il aborde les bienfaits de l’enseignement de la musique chez les enfants souffrant d’handicaps mentaux[20]. On constate également une implantation occasionnelle de la musicothérapie dans le cadre scolaire, avec le témoignage de la professeure d’éducation musicale Graziela Cintra Gomes venu du Portugal pour évoquer son expérience au conservatoire de Lisbonne[21], ou celui de la fédération musicale de Poitou-Charentes proposant des séances de musicothérapie au sein de l’école de musique de Niort en partenariat avec le centre de pédopsychiatrie local[22].

Enfin, outre ces deux aspects, le Journal de la CMF aborde la musicothérapie plus sporadiquement par des annonces et des publicités diverses. On observe néanmoins une certaine récurrence dans les publicités faisant la promotion de formations à la musicothérapie. Pour ne citer que quelques exemples, on mentionnera l’enseignement dispensé par l’ARATP dès 1972[23], les cours du musicologue et musicothérapeute Jacques Portes à partir de 1982[24] ou encore les formations dispensées par l’association Carl Orff tout au long des années 2000[25]. Plus rarement, l’activité éditoriale relative au sujet sera parfois mentionnée comme l’Introduction à la musicothérapie d’Edgar William en 1971[26] ou La musicothérapie en clinique adulte de Josette Kupperschmitt en 2005[27].

Une vigilance nécessaire

Bien que la musicothérapie s’inscrive actuellement dans une démarche rigoureusement scientifique via son courant intégratif et les recherches en neurosciences de la musique, un regard historique porté sur ses plus lointaines origines montre qu’il n’en a pas toujours été ainsi. En Grèce Antique, le philosophe Théophraste préconisait par exemple l’écoute du mode phrygien comme remède à la sciatique[28]. Dans le monde arabe du huitième siècle, le théoricien de la musique Safiy-al-Dïn al-Urmawi observait dans les propriétés du mode Hijaz des vertus thérapeutiques aussi diverses que la guérison des coliques diarrhéiques, la stimulation des urines et la production d’effets aphrodisiaques[29]. Aujourd’hui, ces exemples prêtent à sourire et peuvent sans doute s’expliquer par le faible développement scientifique de l’époque. Il ne faut cependant pas oublier que la musicothérapie contemporaine reste une discipline en cours de développement et n’est pas exempte d’approximations scientifiques non plus que de charlatanisme.

En effet, son élaboration depuis le 20ème siècle s’est appuyée sur divers courants théoriques puisés dans les sciences humaines, la psychologie ou encore la psychanalyse. Mais bien que certains de ces courants brillent par leur rigueur scientifique, d’autres sont autrement plus douteux, comme c’est le cas de l’anthroposophie. Élaboré par l’occultiste autrichien Rudolf Steiner dans la première moitié du 20ème siècle, ce courant pseudo-scientifique est depuis plusieurs années accusé de dérives sectaires[30]. Son influence sur le développement de la musicothérapie est notamment mentionnée par Édith Lecourt et Lubart Todd au troisième chapitre dans leur ouvrage Les art-thérapies[31]. Certains musicothérapeutes et contributeurs au développement de la discipline furent en effet anthroposophes comme le compositeur américain Paul Nordoff et l’anglais Clive Robbins qui élaborèrent la méthode Nordoff-Robbins.

Le dépouillement du Journal de la CMF témoigne également d’une musicothérapie dont le développement historique oscille entre la plus saine prudence vis-à-vis d’un nouveau type de soin et la fantaisie de certains discours. Un compte-rendu des journées d’information données par l’ISME en novembre 1979 appuiera par exemple la nécessaire rigueur du musicothérapeute devant « travailler […] sous contrôle scientifique[32] » alors qu’un article du pédagogue belge Edgar Willem exposera des conjectures psychomusicales essentialistes relativement douteuses[33]. Dans le numéro de Janvier 1980[34], la prose de l’oto-rhino-laryngologiste Alfred Angelo Tomatis pose également question quand on sait la controverse dont ce médecin fit l’objet de même que sa radiation de l’ordre en 1977[35]. Autrement plus problématique, une interview de Dany Fanjat, secrétaire général de l’ARATP en 1973, laisse sous-entendre que l’homosexualité puisse être « soignée » par la musicothérapie lorsqu’il évoque l’une de ses patientes : « Il y a aussi Josiane, vingt ans, qui nous est venue pour des crises de schizophrénie, les yeux morts, abrutie de drogues calmantes, obsessionnelle, lesbienne, incapable d’entreprendre quoi que ce soit[36]. »

Ces différents exemples sont évidemment datés et ne doivent pas jeter le discrédit sur la musicothérapie en générale. De nombreuses expériences concluantes ont parallèlement été menées et justifie sa pratique au sein de nombreuses institutions psychiatriques, d’écoles spécialisées et parfois de prisons. Cependant, l’État français ne reconnaissant aucun diplôme dans le domaine, il reste nécessaire d’observer une certaine vigilance quant aux choix des musicothérapeutes et la formation dont ils sont titulaires. Afin de garantir une qualification professionnelle et prévenir d’éventuels fraudeurs, la Fédération Française de Musicothérapie (FFM) agrée un certain nombre d’établissements[37]. C’est le cas de l’Université Paul-Valéry à Montpellier[38] et de l’Université de Nantes[39] qui proposent toutes les deux un diplôme universitaire, de même que l’atelier de musicothérapie de Bourgogne (AMB) qui dispense un enseignement certifié Qualiopi[40] et l’Université de Paris dont le master création artistique propose une spécialité musicothérapie[41].

Pour conclure, rappelons que la musicothérapie reste encore aujourd’hui une discipline relativement méconnue malgré son implantation dans le milieu hospitalier. Cette discrétion s’explique sans doute par son absence de reconnaissance par l’État français ce qui n’est pourtant pas le cas de plusieurs pays voisins comme la Grande-Bretagne et plus récemment l’Autriche. L’enjeu contemporain, plus que de définir ce qu’est la musicothérapie et de prouver la pertinence de sa pratique, semble donc être la reconnaissance du métier pour une implantation pérenne. C’est d’ailleurs en ce sens qu’œuvrent de concert la Fédération Française de Musicothérapie, la Confédération Européenne de Musicothérapie (EMTC) et la Fédération Internationale de Musicothérapie (WFMT).


Bibliographie :

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Sitographie :


[1]https://www.musicotherapie-federationfrancaise.com/musicotherapeute/ Dernière consultation le 19/04/2022.
[2] VRAIT François-Xavier, La musicothérapie. Presses Universitaires de France, « Que sais-je ? », 2018, p.11.
[3] Ibid. p.24.
[4] http://musicotherapie-info.fr/les-champs-dapplication/ Dernière consultation le 19/04/2022.
[5] « Communiqué de presse », Journal de la Confédération Musicale de France, n°256, novembre 1972, p.7.
[6] Journal de la Confédération Musicale de France, n°273, juin-juillet 1974, p.7.
[7] https://www.isme.org/about/history Dernière consultation le 20/04/2022.
[8] André Amellér fut président de la CMF de 1976 à 1983.
[9] « I.S.M.E », Journal de la Confédération Musicale de France, n°260, mars 1973, p.1 et 3.
[10] MONTEIL Laurence, « Au conservatoire de Grenoble, un très intéressant colloque sur la musicothérapie, organisé par la section française de l’I.S.M.E. », Journal de la Confédération Musicale de France, n°273, juin-juillet 1974, p.3.
[11] AMELLER André, « Propos généraux sur l’enseignement de la musique dans les cas spéciaux », Journal de la Confédération Musicale de France, n°292, juin-juillet 1976, p.1 et 3.
[12] https://www.cmf-musique.org/la-cmf/histoire/ Dernière consultation 20/04/2022.
[13] AMELLER Jacqueline, « Deux séance sur la thérapeutique musicale (musicothérapie) », Journal de la Confédération Musicale de France, n°301, mai 1977, p.1, 3 et 4.
[14] « Musicothérapie », Journal de la Confédération Musicale de France, n°345, novembre 1981, p. 20.
[15] LE TOUZÉ Dominique, « I.S.M.E. XIIème conférence internationale – Montreux (Suisse) -10 juillet 1976 », Journal de la Confédération Musicale de France, n°294, octobre 1976, p. 2.
[16] AMELLER Jacqueline, « I.S.M.E. XIV – Une délégation française importante avec trois groupes musicaux y participe », Journal de la Confédération Musicale de France, n°333, octobre 1980, p. 6 et 7.
[17] « Séminaire international de musicothérapie », Journal de la Confédération Musicale de France, n°356, octobre 1982, p. 13.
[18] AMELLER Jacqueline, « XXe Conférence Internationale de l’ISME à Séoul – Harmonie et Progrès pour l’Education Musicale », Journal de la CMF, n°443, décembre 1992, p. 5-7.
[19] WILLEM Edgar, « La dyslexie et la musique », Journal de la Confédération Musicale de France, n°269, février 1974, p.4.
[20] AMELLER André, « Propos généraux sur l’enseignement de la musique dans les cas spéciaux », Journal de la Confédération Musicale de France, n°292, juin-juillet 1976, p.1 et 3.
[21] CINTRA GOMES Graziela, « Musique, mouvement, expression dramatique, projet expérimentale dans les écoles primaires au Portugal », Journal de la Confédération Musicale de France, n°308, mars 1978, p.2 et 9.
[22] « La vie musicale dans nos régions Fédération Musicale POITOU-CHARENTES », Journal de la CMF, n°420, janvier 1989, p.52.
[23] « Communiqué de presse », Journal de la Confédération Musicale de France, n°256, novembre 1972, p.7.
[24] « Cours de formation en musicothérapie », Journal de la Confédération Musicale de France, n°350 avril 1982, p.18.
[25] « Site », Journal de la CMF, n°520, octobre 2005. p.31.
[26] « L’œuvre pédagogique d’Edgar Willems », Journal de la Confédération Musicale de France, n°239, janvier 1971, p.5.
[27] « Édition », Journal de la CMF, n°516, février 2005, p. 26.
[28] VRAIT François-Xavier, La musicothérapie. Presses Universitaires de France, « Que sais-je ? », 2018, p.77.
[29] Ibid. p.86.
[30] MALET Jean-Baptiste, « L’anthroposophie, discrète multinationale de l’ésotérisme », Le Monde Diplomatique, Juillet 2018, p. 16-17.
[31] « Ce sont aussi bien les anthroposophes que les propositions d’un Moreno pour un psychodrame musical, repris par son neveu Joe Moreno qui développera ce paradigme au sein de la musicothérapie. » LECOURT Édith et TODD Lubart. Les art-thérapies., Malakoff, Dunod, 2020, p.99.
[32] AMELLER, Jacqueline, « Activités actuelles en musicothérapie », Journal de la Confédération Musicale de France, n°327, février 1980, p.4.
[33] WILLEM Edgar, « Aspects essentialistes de psychologie musicale », Journal de la Confédération Musicale de France, n°273, juin-juillet 1974, p.5-7.
[34] TOMATIS Alfred A., « La musique et ses effets neuro-psycho-physiologiques », Journal de la Confédération Musicale de France, n°326, janvier 1980, p. 3, 4 et 13.
[35] VINCENT Olivier, « Tomatis épinglé par la justice », L’express, mars 1996.
[36] Mupsy, « Les sorciers avaient raisons : la musique au secours de l’homme », Journal de la Confédération Musicale de France, n°266, novembre 1973, p.1.
[37]https://www.musicotherapie-federationfrancaise.com/organismes-de-formation-agrees/ Dernière consultation le 29/03/2022.
[38]https://www.univ-montp3.fr/fr/formations/offre-de-formation/diplome-d-universite-niveau-licence-1/arts-lettres-langues-ALL/diplome-d-universite-musicotherapie-1er-niveau-hnd95vb5.html Dernière consultation le 29/03/2022.
[39]https://medecine.univ-nantes.fr/formation-continue/du-musicotherapie
Dernière consultation le 29/03/2022.
[40] https://amb-musicotherapie.fr/ Dernière consultation le 29/03/2022.
[41] https://www.afm-musicotherapie.org/formations Dernière consultation le 29/03/2022.